Bonjour, je suis Sarah j'ai 36 ans. Je n'ai pas encore été vraiment diagnostiquée.
J'ai eu mes règles vers 17 ans déjà très inquiète à l'époque de cet âge qui me semblait tardif. Je n'ai pas fait attention à cette époque à la régularité de mes règles, j'ai commencé à prendre du poids et à avoir des fringales sucrées que j'ai mis sur le compte de troubles alimentaires. J'avais aussi régulièrement des malaises quand mes règles se déclenchaient. À 20 ans j'ai commencé la pilule et là tous les désagrément ce sont arrêtés, perte de poids sans effort et plus de compulsions alimentaires.
En 2013, j'ai arrêté une première fois la pilule, ça été une année horrible j'ai pris 11kg alors que j'avais un régime à 1300 calories et que je faisais du sport, pas du tout de retour de règles. Les médecins qui s'en fichent car bilan hormonal qui semble normal. Je me reconnais plus, je suis super mal. Une endocrinologue finit par me dire que si je n'ai pas de désir d'enfant je peux reprendre la pilule et que les choses seront sûrement différentes la prochaine fois que j'arrêterais.
Aujourd'hui je suis mariée et nous voulons des enfants. J'ai arrêté la pilule en janvier et le cauchemar a recommencé. Cette fois ci j'ai eu deux cycles long environ 40 jours mais des règles quand même. J'ai pris 6 kilos en trois mois, et je sens mon humeur beaucoup fluctuer, je suis aussi très fatiguée malgré de longue nuit de sommeil. J'ai tjs eu des poils sur les seins ,le menton beaucoup au maillot et à l'arrière des cuisses et de l'acné mais pas au point d'un hirsutisme.
Ma sage femme aujourd'hui est plus à l'écoute, elle m'a fait faire un bilan plus complet mais tout est normal, juste LH un peu plus élevé que la FSH mais taux dans les normes, testostérone normal à 0.8, mais l'AMH est à neuf alors qu'à mon âge elle tourne autour de 2.6 apparemment.
J'ai une écho prévu dans un mois.
J'ai peur d'avoir une SOPK et en même temps peur qu'on me dise qu'il n'y a rien alors que je me sens mal.
Mon entourage prend tout cela à la légère à part mon mari mais qui est totalement démuni. Je ne sais plus à qui en parlait pour comprendre ce qu'il se passe.
Je ne sais pas si mon message sera lu, on va surement me dire d'attendre d'avoir un diagnostic. J'aurais au moins tenté.
Bonjour, je suis Sarah j'ai 36 ans. Je n'ai pas encore été vraiment diagnostiquée.
J'ai eu mes règles vers 17 ans déjà très inquiète à l'époque de cet âge qui me semblait tardif. Je n'ai pas fait attention à cette époque à la régularité de mes règles, j'ai commencé à prendre du poids et à avoir des fringales sucrées que j'ai mis sur le compte de troubles alimentaires. J'avais aussi régulièrement des malaises quand mes règles se déclenchaient. À 20 ans j'ai commencé la pilule et là tous les désagrément ce sont arrêtés, perte de poids sans effort et plus de compulsions alimentaires.
En 2013, j'ai arrêté une première fois la pilule, ça été une année horrible j'ai pris 11kg alors que j'avais un régime à 1300 calories et que je faisais du sport, pas du tout de retour de règles. Les médecins qui s'en fichent car bilan hormonal qui semble normal. Je me reconnais plus, je suis super mal. Une endocrinologue finit par me dire que si je n'ai pas de désir d'enfant je peux reprendre la pilule et que les choses seront sûrement différentes la prochaine fois que j'arrêterais.
Aujourd'hui je suis mariée et nous voulons des enfants. J'ai arrêté la pilule en janvier et le cauchemar a recommencé. Cette fois ci j'ai eu deux cycles long environ 40 jours mais des règles quand même. J'ai pris 6 kilos en trois mois, et je sens mon humeur beaucoup fluctuer, je suis aussi très fatiguée malgré de longue nuit de sommeil. J'ai tjs eu des poils sur les seins ,le menton beaucoup au maillot et à l'arrière des cuisses et de l'acné mais pas au point d'un hirsutisme.
Ma sage femme aujourd'hui est plus à l'écoute, elle m'a fait faire un bilan plus complet mais tout est normal, juste LH un peu plus élevé que la FSH mais taux dans les normes, testostérone normal à 0.8, mais l'AMH est à neuf alors qu'à mon âge elle tourne autour de 2.6 apparemment.
J'ai une écho prévu dans un mois.
J'ai peur d'avoir une SOPK et en même temps peur qu'on me dise qu'il n'y a rien alors que je me sens mal.
Mon entourage prend tout cela à la légère à part mon mari mais qui est totalement démuni. Je ne sais plus à qui en parlait pour comprendre ce qu'il se passe.
Je ne sais pas si mon message sera lu, on va surement me dire d'attendre d'avoir un diagnostic. J'aurais au moins tenté.