Je me présente, je me surnomme Lizy, j’ai 31 ans et j’ai été diagnostiqué SOMPK dès l’âge de 19 ans, mais avec des symptômes perçus dès mes 13 ans.
Pour débuter, à l’âge de 13 ans, mes symptômes ont été les suivants : - Très obèse, - Dérèglement hormonal (plus d’hormones mâles que femelles), - Noirceur sur les pliures de mon corps, - Problème de Thyroïdes, - Cycles irréguliers (de 3 à 6 mois), - Règles douloureuses.
Suite à ses symptômes, on m’a prescrit comme traitement de l’Androcur accompagné d’un gel à intégré sur le bras afin de régler mes déséquilibres hormonaux.
Le Syndrome des Ovaires Micropolykystique m’avait déjà été prononcé, mais on m’a signalé que j’étais encore jeune et que cela serait plus compréhensible à postériori, en grandissant.
Arrivé à l’âge de 16 ans, la prise de contraception « Minerva » fût demandé par mes parents pour se protéger, mais aussi par l’endocrinologue afin de réguler mes cycles qui n’étaient vraiment pas stable du tout.
L’âge de 19 ans fut le commencement de l’état de ce syndrome, et les années les plus difficile moralement ! Début des essais bébé, le nom du syndrome est clairement définit par les gynécologues.
A 20 ans, arrêt de la contraception, aucune ovulation dut aux cycles irréguliers. Après quelques cycles anovulatoire, prise de cachet « Metformine » afin de baisser mon taux d’insuline, car hyper-insulinique et demande impérative de perte de poids dût à mon obésité.
Après l’échec de grossesse, prise de cachet « Pergotime » afin d’ovuler par traitement durant 6 cycles avec contrôle par courbe de température et suivi gynécologique, toujours. Échecs. Après des cycles de pauses, pour ne pas enchaîner et laisser respirer le corps, j’ai poursuivi par 6 cycles de stimulation simple par injection de « Gonal F » avec déclenchement par injection également « Ovitrelle ». Échec.
À 22 ans, et dans la continuité, j’ai effectué un drilling ovarien. Une intervention consistant à trouer à plusieurs reprises chaque ovaires afin d’obtenir une ovulation naturellement, sans traitement. J’ai réussi à obtenir 3 cycles au repos avec une ovulation naturelle, mais toujours avec l’échec d’une grossesse. Arrivé, à 23 ans, et suite aux nombreux échecs, les dernières solutions se sont imposées. 5 Inséminations Intra-Utérines (IIU) effectué, échec de nouveaux. Pour finir, 2 Fécondations In Vitro (FIV), et aucune grossesse. Après ce parcours semé d’embûches, et de nombreuses années (7 ans), la phrase revenant régulièrement de la bouche des 6 gynécologues consultés pour ces traitements est la perte de poids impérative, car Madame est obèse et cela bloque au développement de son ovulation. Avec beaucoup d’échec, de pleurs, d’angoisses et de culpabilités dût à l’infertilité venant de ma part, une décision importante fût posé et pratiqué.
A 25 ans, je me suis fait opérer d’une Sleeve avec une perte de 40 kg en 6 mois, soit mon surpoids intégral à perdre. Après mon divorce, à 27 ans, j’ai pris les contraceptions « Optidril » puis « Desogestrel » afin de me protéger et de réguler mes cycles qui étaient de nouveaux déréglés.
Et voici la conclusion de mon passé, parcours et surtout roman sur mon expérience avec ce syndrome que je connais bien maintenant. L’obésité a mis un très grand frein à tous ces effets indésirable reliés à ce syndrome. Tous les gynécologues m’ont imposé de maigrir pour avoir la chance de donner la vie un jour, et depuis ma perte de poids, ses effets ont tous disparu : cycles irréguliers, hyper-insulinisme, dérèglements hormonaux. Ceci n’est pas irréversible ! Si je regrossis similaire à mon passé, le syndrome reviendra. Après avoir rassemblé le puzzle de mon passé et avoir décrypté tout ce que je viens de vous raconter, j’ai assimilé l’élément déclencheur qui fût mes antécédents maternel. Ma maman eu, avant son jeune âge de maternité, des kystes ovariens qui éclatés lors de son 1er jour de cycle, lors de ses règles, passant inaperçu. Souvent, on met beaucoup de choses sous l’effet des antécédents médicaux, voir même la plupart des découvertes médicales, mais ce syndrome aurait pu obtenir comme déclencheur ceci.
Ceci dit, j’ai aujourd’hui 31 ans, je ne suis plus obèse, mais je suis très stable avec un poids dont l’IMC est dans la normalité, avec des cycles réguliers, mais sans enfant malgré tout l’ordre revenus.
En vous remerciant d’avoir tous lu et en espérant aider des personnes à mieux comprendre ce syndrome.
Bonjour,
Je me présente, je me surnomme Lizy, j’ai 31 ans et j’ai été diagnostiqué SOMPK dès l’âge de 19 ans, mais avec des symptômes perçus dès mes 13 ans.
Pour débuter, à l’âge de 13 ans, mes symptômes ont été les suivants : - Très obèse, - Dérèglement hormonal (plus d’hormones mâles que femelles), - Noirceur sur les pliures de mon corps, - Problème de Thyroïdes, - Cycles irréguliers (de 3 à 6 mois), - Règles douloureuses.
Suite à ses symptômes, on m’a prescrit comme traitement de l’Androcur accompagné d’un gel à intégré sur le bras afin de régler mes déséquilibres hormonaux.
Le Syndrome des Ovaires Micropolykystique m’avait déjà été prononcé, mais on m’a signalé que j’étais encore jeune et que cela serait plus compréhensible à postériori, en grandissant.
Arrivé à l’âge de 16 ans, la prise de contraception « Minerva » fût demandé par mes parents pour se protéger, mais aussi par l’endocrinologue afin de réguler mes cycles qui n’étaient vraiment pas stable du tout.
L’âge de 19 ans fut le commencement de l’état de ce syndrome, et les années les plus difficile moralement ! Début des essais bébé, le nom du syndrome est clairement définit par les gynécologues.
A 20 ans, arrêt de la contraception, aucune ovulation dut aux cycles irréguliers. Après quelques cycles anovulatoire, prise de cachet « Metformine » afin de baisser mon taux d’insuline, car hyper-insulinique et demande impérative de perte de poids dût à mon obésité.
Après l’échec de grossesse, prise de cachet « Pergotime » afin d’ovuler par traitement durant 6 cycles avec contrôle par courbe de température et suivi gynécologique, toujours. Échecs. Après des cycles de pauses, pour ne pas enchaîner et laisser respirer le corps, j’ai poursuivi par 6 cycles de stimulation simple par injection de « Gonal F » avec déclenchement par injection également « Ovitrelle ». Échec.
À 22 ans, et dans la continuité, j’ai effectué un drilling ovarien. Une intervention consistant à trouer à plusieurs reprises chaque ovaires afin d’obtenir une ovulation naturellement, sans traitement. J’ai réussi à obtenir 3 cycles au repos avec une ovulation naturelle, mais toujours avec l’échec d’une grossesse. Arrivé, à 23 ans, et suite aux nombreux échecs, les dernières solutions se sont imposées. 5 Inséminations Intra-Utérines (IIU) effectué, échec de nouveaux. Pour finir, 2 Fécondations In Vitro (FIV), et aucune grossesse. Après ce parcours semé d’embûches, et de nombreuses années (7 ans), la phrase revenant régulièrement de la bouche des 6 gynécologues consultés pour ces traitements est la perte de poids impérative, car Madame est obèse et cela bloque au développement de son ovulation. Avec beaucoup d’échec, de pleurs, d’angoisses et de culpabilités dût à l’infertilité venant de ma part, une décision importante fût posé et pratiqué.
A 25 ans, je me suis fait opérer d’une Sleeve avec une perte de 40 kg en 6 mois, soit mon surpoids intégral à perdre. Après mon divorce, à 27 ans, j’ai pris les contraceptions « Optidril » puis « Desogestrel » afin de me protéger et de réguler mes cycles qui étaient de nouveaux déréglés.
Et voici la conclusion de mon passé, parcours et surtout roman sur mon expérience avec ce syndrome que je connais bien maintenant. L’obésité a mis un très grand frein à tous ces effets indésirable reliés à ce syndrome. Tous les gynécologues m’ont imposé de maigrir pour avoir la chance de donner la vie un jour, et depuis ma perte de poids, ses effets ont tous disparu : cycles irréguliers, hyper-insulinisme, dérèglements hormonaux. Ceci n’est pas irréversible ! Si je regrossis similaire à mon passé, le syndrome reviendra. Après avoir rassemblé le puzzle de mon passé et avoir décrypté tout ce que je viens de vous raconter, j’ai assimilé l’élément déclencheur qui fût mes antécédents maternel. Ma maman eu, avant son jeune âge de maternité, des kystes ovariens qui éclatés lors de son 1er jour de cycle, lors de ses règles, passant inaperçu. Souvent, on met beaucoup de choses sous l’effet des antécédents médicaux, voir même la plupart des découvertes médicales, mais ce syndrome aurait pu obtenir comme déclencheur ceci.
Ceci dit, j’ai aujourd’hui 31 ans, je ne suis plus obèse, mais je suis très stable avec un poids dont l’IMC est dans la normalité, avec des cycles réguliers, mais sans enfant malgré tout l’ordre revenus.
En vous remerciant d’avoir tous lu et en espérant aider des personnes à mieux comprendre ce syndrome.