Moi c'est Marie, j'ai 22 ans et j'ai été officiellement diagnostiqué SOPK il y a 3 mois.
J'ai eu mes premières règles à 13 ans, pas régulières mais sans problèmes. J'ai commencé la pilule à 15 ans et je l'ai arrêté à 16 ans pendant 1 an. Et là ? Réglée 2 fois seulement dans l'année. Ma mère étant sage-femme m'a donc fait passer une échographie, et nous avons constaté que j'avais des petits ovaires pleins de follicules. Sans grandes inquiétudes j'ai repris ma pilule. 2 ans plus tard direction pour les urgences pour une péricardite et je re-change de pilule. Rien n'y fais toujours autant de boutons, de poils, ses satanés kilos en trop qui ne partent pas malgré le sport et une alimention saine (10kg pour ma part). Je change en tout 4 fois de pilule et puis les infections urinaires aussi qui me pourissent la vie (2ème péricardite à cause d'une un peu trop chargée), sans oublié la perte de cheveux qui m'ont fait depenser une fortune dans des soins. Bref tout un lot de symptomes quotidient lourd à supporter. Et puis un jour bilan basique avec glycémie. Le choc 1,36 à jeun sur plusieurs jours et prolactine élevée. Je prends donc enfin RDV avec une endocrino. Diagnostique : SOPK avec une insuline-résistance.
Enfin une réponse à tout ce que je vie depuis 7 ans. Ce disgnostique m'a soulagée et apeurée à la fois. Soulagée de savoir ce que j'avais et apeurée pour la suite. Comme je le dit plus haut ma mère est sage-femme et donc tout ce qui est PMA je connais, je sais que c'est lourd et dur. Mais maintenant je sais que je serais bien accompagnée!
Aujourd'hui cela fait 3 mois que je suis sous metformine (traitement pour les diabétiques), j'ai retrouvé une glycémie correct et j'ai pu perdre enfin quelques kilos. J'ai une interdiction formelle aux hormones du à ce syndrome et à mes péricardites donc ça sera bientot stérilet au cuivre.
Je souhaite aujourd'hui que ce syndrome soit mieux expliqué et mieux accompagné afin que les jeunes filles atteintes ne restent pas des années à souffrir sans comprendre pourquoi.
Bonjour à tous,
Moi c'est Marie, j'ai 22 ans et j'ai été officiellement diagnostiqué SOPK il y a 3 mois.
J'ai eu mes premières règles à 13 ans, pas régulières mais sans problèmes. J'ai commencé la pilule à 15 ans et je l'ai arrêté à 16 ans pendant 1 an. Et là ? Réglée 2 fois seulement dans l'année. Ma mère étant sage-femme m'a donc fait passer une échographie, et nous avons constaté que j'avais des petits ovaires pleins de follicules. Sans grandes inquiétudes j'ai repris ma pilule. 2 ans plus tard direction pour les urgences pour une péricardite et je re-change de pilule. Rien n'y fais toujours autant de boutons, de poils, ses satanés kilos en trop qui ne partent pas malgré le sport et une alimention saine (10kg pour ma part). Je change en tout 4 fois de pilule et puis les infections urinaires aussi qui me pourissent la vie (2ème péricardite à cause d'une un peu trop chargée), sans oublié la perte de cheveux qui m'ont fait depenser une fortune dans des soins. Bref tout un lot de symptomes quotidient lourd à supporter. Et puis un jour bilan basique avec glycémie. Le choc 1,36 à jeun sur plusieurs jours et prolactine élevée. Je prends donc enfin RDV avec une endocrino. Diagnostique : SOPK avec une insuline-résistance.
Enfin une réponse à tout ce que je vie depuis 7 ans. Ce disgnostique m'a soulagée et apeurée à la fois. Soulagée de savoir ce que j'avais et apeurée pour la suite. Comme je le dit plus haut ma mère est sage-femme et donc tout ce qui est PMA je connais, je sais que c'est lourd et dur. Mais maintenant je sais que je serais bien accompagnée!
Aujourd'hui cela fait 3 mois que je suis sous metformine (traitement pour les diabétiques), j'ai retrouvé une glycémie correct et j'ai pu perdre enfin quelques kilos. J'ai une interdiction formelle aux hormones du à ce syndrome et à mes péricardites donc ça sera bientot stérilet au cuivre.
Je souhaite aujourd'hui que ce syndrome soit mieux expliqué et mieux accompagné afin que les jeunes filles atteintes ne restent pas des années à souffrir sans comprendre pourquoi.
Merci de m'avoir lu.